Pourquoi ce blog ?

  Disons-le tout de suite, je me lance dans la publication de ce blog sans trop savoir ce qu’il deviendra. J’aime écrire des romans, car c’e...

23 avril 2024

Mon nouveau roman.

 

Mon roman Le bon air de la forêt est enfin achevé. Il met de nouveau en scène Camille Guennégan, la jolie rousse d’Amprestéa dans une histoire où des meurtres sont commis. Même si je ne mesure pas le temps que je passe sur mes écrits, je pense que j’en ai finalement consacré plus à la correction et au remaniement de certains paragraphes qu’à la rédaction initiale. J’ai notamment fait des efforts pour éviter les tournures de phrase faisant intervenir le subjonctif, dont je suis par nature assez friand. Pourquoi, me direz-vous ? Tout bonnement parce que j’ai rédigé le texte au passé et à la première personne. À ce temps, le bon usage du français demande l’imparfait du subjonctif, amenant à la première personne du singulier des terminaisons en « usse », « isse » et « asse » qui paraissent disgracieuses voire ridicules de nos jours tant elles sont inusitées dans la langue parlée moderne (exemple : « … bien que j’amassasse des sous »). Camille, issue de la classe moyenne ne pouvait s’exprimer ainsi. J’aurais certes pu utiliser le subjonctif présent à la place, comme c’est devenu courant désormais et ne choque plus nos oreilles, mais j’ai souhaité l’éviter autant que possible. Cependant, vous en trouverez peut-être quelques cas d’usage dans des phrases au passé, mais dans les dialogues. J’ai déposé le texte pour le « copyright » et généré l’EPUB pour une lecture sur liseuse électronique afin qu’un ami puisse le lire. Après d’éventuelles dernières petites corrections, je le publierai sur Amazon dans ce même format puis couché sur du papier.